Histoires érotiques
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Je suis une fille marocaine. Une jeune fille de 23 ans actuellement.
La vie m’a toujours sourit et m’a toujours offert ce dont j’avais besoin, voire plus depuis que je suis née ; j’ai des parents aimants, un grand frère attentionné, une belle et chaleureuse maison, un niveau socio économique très respectueux et une santé de fer. Le sourire ne quittait pas mon visage, et pour parler de moi on m’appelait : la fille qui est toujours souriante, ça me flattait…
Jusqu’au jour J. J’avais 20 ans. J’étais de retour à mon pays pour des vacances parce que je poursuivais mes études en France depuis l’obtention de mon bac.
C’était une matinée d’été où il faisait très très beau ! La météo intensifiait ma nature joviale. On a décidé de faire un pique nique en famille, avec notre beau gosse de berger allemand ; Croc Blanc. On est arrivé à la forêt où il y avait beaucoup de monde. Tout le monde voulait profiter d’une aussi belle journée. J’étais surprise de rencontrer par hasard un ami avec qui j’ai perdu contact depuis notre bac en commun. J’étais très contente de le voir, et lui aussi… Il était accompagné de 3 autres garçons que je ne connaissais pas, et dont j’ai fait connaissance à travers lui, ils étaient très sympas ! Ils m’ont proposé de rentrer ensemble en ville et rencontrer d’autres amis du bac en commun avec qui j’avais perdu contact aussi, et que j’aimais bien et qui me manquaient surtout ! Je n’ai pas hésité à accepter !
Après le déjeuner en famille, j’ai pris la permission de mes parents et de mon grand frère pour aller rejoindre les garçons, j’ai gardé Croc Blanc avec moi. Ma famille est rentrée à la maison. Les garçons m’ont proposé d’appeler les autres pour nous rejoindre à la forêt, j’ai trouvé que c’était une très bonne idée ! Après une quinzaine de minutes, une voiture de 4 garçons est arrivée, je ne les connaissais pas. J’étais la seule fille entre 8 garçons, je connaissais un seul et je le connaissais très bien, donc je n’avais rien à craindre quoique mon cœur cognait dans ma poitrine et m’étouffait. J’ai oublié de préciser que la forêt était devenue quasi déserte, mais je voyais un gardien se balader à côté et lançait des regards vers nous, ça me rassurait.
J’étais violée par 9 « hommes » (le gardien y compris).